De Vieilles Tiges van de Belgische luchtvaart vzw

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Bonjour monsieur le président,
De retour d'un voyage a Madrid, j'ai eu l'ocassion de rendre visite a un ami et président du "Real Aero Club De España monsieur le Président José luis Olías Sánchez. Lors de cette visite j'ai été approcher par Monsieur Luis Francisco Curiel Aróstegui president du Real Aero Club de Granada.
Le Real Aero Club de Granada organise toutes cette année le "100 anniversaire de l'aviacion". En juin de 2011 Granada celebrera un autre evenement: Le vol d'un avion sur l'hipodrome de "Armilla". celui ci a eu lieu du 20 au 22 juin de 1911, les protagoniste étaient JULES TYCK et GRANELL que volèrent deux avions de types Blériot XI, model "Canal de la Manche". Monsieur Tyck vola pendant trois minutes et trente huit segonde y monta a une hauteur effrayante de 250 metres. ce vol fut realiser devant plus de 4000 personnes concentrer sur L'hippodrome et devenant ainsi un vol historique dont Jules tyck en était le protagoniste.
Auriez vous connaisance monsieur le President d'un descendant vivant de Monsieur Jules Tyck.
Aurriez vous aussi plus de détails que ceux mentioner dans le premier licencier pilote?
Bien a vous
Jean claude Kaisin
Dit "Kéké"
Capt Avi ER
Mat A25646
Ancien pilote Mirage.

Jean Claude Kaisin, 16/01/2011

Cher ami,
Je vous remercie pour l'intérêt que vous témoignez à notre association.
Je joins en annexe le texte qui a figuré dans notre magazine à propos de Jules Tyck ( Histoire des techniques aéronautiques en Belgique)
Vous trouverez d'autres renseignements en recherchant l'intéressé sur Google.
En ce qui concerne des descendants, je n'ai aucune information à ce sujet, mais je me renseigne.
Bien cordialement.
Mandl Michel


En fin d’année 1910, de Caters, accompagné du pilote belge Jules Tyck , est à Calcutta.
Il y a emmené quatre avions démontables fabriqués par les frères Bollekens qui font breveter cette innovation sous la marque « Jero ». Montés sur place, ces appareils sont utilisés pour des vols de démonstration. Le 2 février 1911, à Bangalore, il effectue quelques belles exhibitions en présence de trente mille personnes. À la mi-février, clôturant son périple asiatique par une dernière démonstration à Secunderabad, il décide malheureusement de mettre un terme à sa carrière internationale d’aviateur.

À son retour à Anvers, de Caters se voit remettre par les autorités françaises, la Croix de Chevalier de la Légion d’Honneur pour les services qu’il a rendu à l’aviation.
Le baron ayant également décidé de mettre fin à sa société Aviator, les frères Bollekens reprennent ses quatre avions ainsi que les huit hangars de Sint-Job-in-’t-Goor. Ils louent le champ d’aviation à la famille de Caters et poursuivent toutes les activités de la société du baron.

Début 1912, ayant opté pour une vie plus paisible et moins onéreuse, Pierre de Caters « se retire » sur ses terres à la demande pressante de sa famille. Il réapparaîtra en 1914, dès le début des hostilités, pour se mettre au service du Roi et de la Nation. Pendant un an, de juin 1915 à l’été 1916, Pierre de Caters devient le premier commandant de l’École d’aviation militaire belge à Étampes (France). Fin 1916, le lieutenant de Caters quitte définitivement le monde de l’aviation.

Il convient de synthétiser l’avant-gardisme du Baron Pierre de Caters. Aviateur belge numéro un, il a ouvert la voie de l’aviation en Belgique. Il a imaginé le premier champ d’aviation avec toute l’infrastructure nécessaire à son utilisation. Véritable visionnaire, il fonde une entreprise d’aviation, transforme les premiers avions en vue d’une utilisation militaire et commerciale, crée une école d’aviation et par là même, forme les premiers aviateurs militaires. Assurant la représentation initiale en Belgique d’une firme étrangère de construction d’avions, il devient ambassadeur de l’aviation belge en Europe, en Afrique et en Asie.